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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 15:11
Si vous cliquez sur le lien ci dessous vous verrez une vidéo produite par la communauté de l'Emmanuel et une fois de plus frère Paul fait une apparition (mais combien paye t-il le photographe ? !!!)
Et n'oublions pas de porter tous nos enfants dans la prière ce dimanche afin qu'ils sachent répondrent généreusement à l'appel du Seigneur sur eux. 


VIDEO


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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 03:23
Je vous renvoie à cet article qui rejoint l'article "Le Pape et le préservatif numero 1" et qui montre , études scientifiques à l'appui,que les populations qui ont subies des campagnes uniquement axées sur le préservatif sont plus touchées par le Sida que les populations qui ont été encouragées à la fidélité. Ce sont des études sociologiques et non pas une analyse de comportements individuels. Cela signifie que si le préservatif a une efficacité reconnue à titre individuel, il n'est pas l'unique réponse au fléau à un niveau collectif. Et si finalement le Pape avait raison !!!


ARTICLE : GREEN donne raison au Pape




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13 avril 2009 1 13 /04 /avril /2009 03:36
La famille Karibou est dans la joie car le Christ est ressuscité et elle souhaite un beau temps Pascal à tous les lecteurs de ce blog.

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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 02:27
HOMELIE du 24 mars 2009 de notre curé

Jésus guérit par la parole "Léve toi et marche! (Jean 5,1-16)
La Parole est donc d'une puissance incroyable
Mais la Parole est également dérangeante. La Vérité est difficile à entendre.
Aussi les pharisiens n'auront qu'un seul objectif pendant les années de vie publique de Jésus : LE FAIRE TAIRE .

Avec Benoît XVI, nous sommes dans la même logique. Il faut tout faire pour l'empêcher de parler, de proclamer la vérité au monde. Et cela vient de l'interieur de l'Eglise elle même comme du temps de Jésus.
Ce ne sont pas les romains mais les pharisiens qui ont condamné Jésus.

La Vérité dont est dépositaire le Pape n'est pas sa vérité personnelle, elle est celle de l'Eglise qui est inspirée par l'Esprit Saint (en particulier au travers du collège des évêques). Aussi, Benoît XVI ne fait que répéter ce que disait Jean-Paul II ou Paul VI et que répétera son succeseur. Le Pape n'a donc pas le choix, car se taire serait trahir sa mission de pasteur de l'Eglise universelle. Subir la persécution est une composante inéluctable de son ministère de successeur de Pierre.

Prions pour notre Pape .

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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 02:21

Dominique Morin, malade du sida : "Le préservatif est un leurre"

  • famillechretienne.fr
  • 20/03/2009

Avez-vous jugé scandaleux les propos récents de Benoît XVI ?

Ce que je trouve scandaleux, ce sont ces choeurs de vierges effarouchées. Qu’a dit Benoît XVI ? L’homme ne peut se résigner à vivre des comportements sexuels à risque (vagabondage sexuel ou homosexualité), ni la société fonder une prévention du sida sur l’échec. Il a rappelé que l’homme est doté d’une raison, d’une liberté, et qu’il est capable de poser des actes. La réponse à donner au sida est dans ses moyens de propagation. Le seul moyen sûr d’endiguer le risque est d’éviter les comportements à risque. C’est du simple bon sens, mais ce n’est pas le mieux partagé à l’heure actuelle ! Alors je dis merci au Pape d’avoir brisé un tabou.

Benoît VXI ne nous transmet pas une théorie qu’il vient d’inventer. Il ne fait que rappeler ce que prône l’Eglise, basée sur la Révélation. Dans l’Ancien Testament déjà est écrit "je te montrerai le chemin de la vie et de la mort. Tu choisiras la vie". Comme Dieu, l’Eglise croit en nous. Elle croit l’homme capable de poser des choix. Ces choix font sortir d’une logique fataliste qui fait de l’homme l’esclave de ses pulsions.

N’est-ce pas rendre service aux jeunes que de leur recommander le port d’un préservatif ?

Je témoigne dans les écoles depuis quinze ans. Aujourd’hui, les jeunes pensent qu’une sexualité pulsionnelle, instinctive, est leur seul horizon. Or, derrière leur demande "Dis-moi comment avoir une partie de jambes en l’air tranquille" se cache une aspiration profonde, le désir d’aimer sans savoir comment s’y prendre. Dire qu’un jeune est obligé d’avoir des relations sexuelles pour se découvrir et apprendre à aimer correspond à la logique freudienne, qui est fausse. Pour des catholiques, faire de Freud un docteur de l’Eglise en dit long sur leur vision de l’homme !

Il existe une autre voie que celle de la pornographie, la masturbation, les relations instables. Oublier de leur dire cette vérité revient à leur mentir. Celui qui leur dit d’utiliser un préservatif se lave les mains et s’offre une bonne conscience à peu de frais. Le jeune se retrouve face aux limites du moyen et de relations sans confiance. Le préservatif est un leurre et une escroquerie !

Vous êtes vous même porteur du HIV. Quel a été votre parcours ?

Dans les années 80, je vivais dans la délinquance, la drogue, le sexe, et la violence politique. En 1986, j’ai commencé à me convertir. Je n’en pouvais plus de toute cette violence. Par la pratique religieuse, j’ai découvert une joie que je ne connaissais pas. J’ai décidé de me confesser, persuadé de me faire jeter ! Or j’ai rencontré la miséricorde de Dieu, à travers le sourire bienveillant du prêtre et son absolution. Puis j’ai découvert en 1993 que j’étais infecté du sida, en phase 4. J’étais fichu.

Vous parlez de politique de prévention, comme le Saint-Père. Ce discours peut-il tenir face à un séropositif ?

Il existe bien sûr des cas d’exception, mais une morale ne se détermine pas en fonction d’un échec ni d’un mal. Jamais l’Eglise n’a dit d’aller s’infecter sans préservatif. Certaines pulsions sont parfois si fortes, notamment chez les homosexuels, que la personne n’est pas toujours capable, malgré ses efforts, d’y résister. Dans ce cas-là, bien sûr, le prêtre invite à ne pas en plus propager la mort.

Comment avez-vous tenu ce pari de la chasteté ?

Je n’ai pas eu de relations sexuelles depuis 29 ans et c’est pour moi le seul moyen complètement sûr de ne pas transmettre le virus. Je ne suis pas meilleur que les autres malades. Ma conversion m’a fait changer de perspective sur moi, mon corps, ma relation aux autres. La prière et les sacrements m’ont donné les grâces nécessaires pour déraciner en moi des habitudes et combattre ma faiblesse. J’ai appris à me "domestiquer". J’ai aussi découvert des relations chastes avec des filles. L’abstinence sexuelle est parfois difficile, mais le plaisir dont cela me prive ne me manque pas tellement, au regard de la vie apaisée que je connais aujourd’hui.

Vous êtes-vous senti condamné par l’Eglise ?

Jamais je ne me suis senti rejeté par l’Eglise, au contraire. Elle m’a ouvert ses portes, elle m’a accueilli comme j’étais, là où j’en étais. Je me suis senti aimé. Car l’Eglise distingue la personne de ses actes. Avant ma conversion, je me sentais condamné par les propos de l’Eglise, parce que je croyais faire corps avec mes actes. Je croyais que lorsque l’Eglise condamnait tel acte, elle condamnait l’homme. Or, "la vengeance de Dieu, c’est de pardonner", comme disait Pagnol. Dieu ne sait qu’aimer. Il couvre d’un amour de prédilection les malades du sida.

Beaucoup accusent l’Eglise aujourd’hui...

C’est oublier que l’Eglise fut la première à se soucier des sidéens. Dès les années 80, aux Etats-Unis, le Cardinal O’Connor a ouvert un service spécial pour les accueillir, alors qu’on ignorait encore les risques de contamination. Mère Teresa est venue créer le premier centre "The gift of love" à New-York, dédié aux malades du sida. Il en existe plusieurs aujourd’hui, à travers le monde.

L’Eglise veut le bonheur de l’homme. Le Pape tient son rôle de père, de pédagogue, lorsqu’il rappelle que l’homme est destiné à aimer en vérité, et non dans le mensonge, dans la peur et le risque de la mort. Il nous montre un chemin exigeant, sans chercher à plaire ni à séduire. Le sida se propage par le multi partenariat. Le seul moyen de l’endiguer est de revenir à la racine de l’amour. Chacun aspire à l’amour vrai, fondé sur la confiance. Voilà le véritable enfer : non pas être puni des conséquences de son péché, mais avoir peur d’aimer.

Stéphanie Combe

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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 02:14

Les médias africains déplorent l’attitude des médias occidentaux

Pendant la visite du pape en Afrique


ROME, Mardi 24 mars 2009 (ZENIT.org) -  « Le Cameroun vient de boucler avec une réussite insolente la troisième visite papale de son histoire », lit-on dans le Cameroon Tribune, après les quatre jours de visite de Benoît XVI sur le sol camerounais, qui déplore en même temps la polémique engagée par les médias occidentaux contre le pape durant cette visite.  

« Le Cameroun et l'Afrique ont vécu quatre jours si intenses et si magiques, qu'ils peinent encore à en jauger l'insondable portée », souligne Marie-Claire Nnana dans son article, convaincue que cette visite du pape en Afrique est « une visite à succès, et un événement majeur qui marquera l'Eglise et tout le continent ».

« En posant l'acte d'amour que constitue sa visite, en nous assurant de l'amour de Dieu, nous les damnés de la terre, le pape nous comble d'espérance », souligne la journaliste.

Mais « on ne décrira jamais assez le rapt inélégant et la parfaite imposture des médias européens et en particulier français sur cette visite », souligne-t-elle. « C'était le temps de l'Afrique. L'Afrique n'aspirait qu'à la communion spirituelle et à la fête. Nos confrères se sont évertués à ne mettre en lumière que les aspects les plus anecdotiques de cette visite, les chiens écrasés, l'écume des jours », ajoute-t-elle.

« Pas un mot sur le synode des évêques africains à venir, ni sur le document préparé à cet égard par le pape », commente-t-elle. « Ils ont parasité les ondes avec une polémique qu'ils ont créée de toute pièce. Car en sortant de son contexte la déclaration du pape sur le préservatif, ils en ont dénaturé la substance ».

Autre exemple de sabotage stratégique reproché aux médias occidentaux : avoir cherché, en Angola, à « éclipser le message apostolique en montant en épingle une déclaration sur l'avortement thérapeutique ».

« En résumant huit jours de visite en deux petites phrases, de préférence celles susceptibles de remuer une opinion publique formatée, il y a un risque de caricaturer et de fausser le message », souligne-t-elle. Et le comble pour la journaliste c'est lorsque « ces médias déclarent parler au nom des Africains ».

« Non, merci, chers confrères, vous parlez pour vous-mêmes, et pour votre public. Les Africains sont assez grands pour déchif frer et critiquer, au besoin, les messages du pape, afin d'en tirer la substantifique moelle. ».

De plus, estime-t-elle, « les débats autour du SIDA et de l'avortement sont trop importants pour les biaiser de cette manière, en les réduisant à une polémique médiatique ».

« Si nous décrions cet opportunisme chez nos confrères, ce n'est pas que ces questions indiffèrent les Africains que nous sommes, précise la journaliste du Cameroon Tribune, simplement, il nous semble peu fécond de vouloir infléchir les prises de positions papales, parce qu'elles découlent des principes moraux et de valeurs dictés par les évangiles dont il est le gardien ».

« Le pape, que les médias décrivent comme austère et peu charismatique, nous a paru au contraire sensible à nos démonstrations bruyantes et sincères », poursuit-elle. «  Il les a reçues dans le tempérament qui est le sien : tout en retenue, le geste peu emphatique, le regard ardent ».

En conclusion la journaliste pense que « Benoît XVI en aura bien besoin » de l'affection des fidèles Africains pour continuer sereinement sa mission, dans une Europe, dit-elle, « dont il est le fils biologique, mais non pas spirituel puisque cette Europe nie désormais la dimension spirituelle du monde ».

Isabelle Cousturié


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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 22:05
J'ai trouve sur le site ZENIT.ORG un article interessant sur le sujet :
Je vous rappelle que ZENIT est totalement gratuit et fournit tous les jours/semaine une revue de presse.


Ile Maurice : l’évêque de Port-Louis s’exprime sur le SIDA

ROME, Lundi 23 mars 2009 (ZENIT.org) - « Si on n'y met pas l'âme, si on n'aide pas les Africains, on ne peut pas résoudre ce fléau par la distribution de préservatifs », souligne Mgr Maurice Piat, évêque de Port-Louis, à l'Ile Maurice, dans un communiqué de l'évêché. 

Revenant sur la réponse faite par Benoît XVI à un journaliste durant le vol qui le conduisait en Afrique, concernant la position de l'Eglise, « considérée comme n'étant pas réaliste et efficace », dans sa façon de lutter contre le SIDA, Mgr Piat estime que « le pape a tout à fait raison lorsqu'il dit que le problème du SIDA ne peut être réglé simplement en distribuant des préservatifs ». 

Le communiqué de l'évêché rappelle que le pape, dans sa réponse, dit explicitement qu' « on ne peut pas surmonter ce problème du SIDA uniquement avec des slogans publicitaires » ; que « la solution se trouve dans un double engagement : une humanisation de la sexualité et l'assistance humaine et spirituelle des malades du SIDA ».

Pour expliquer pourquoi il donne raison au pape, Mgr Piat reprend une partie de son message de Noël de 2005 rapportant qu'après « des recherches faites en Afrique du Sud, des organismes ont été surpris de voir la maladie se répandre très vite malgré les tonnes de préservatifs déversés dans les lycées, les collèges, les universités ».

Ces chercheurs ont alors constaté que « quand des gens bien intentionnés viennent dans des collèges faire des campagnes d'information et de prévention par rapport au SIDA et qu'ils proposent le préservatif comme seul moyen de prévention, ce qui se passe en fait c'est que des jeunes qui jusque-là s'abstenaient de relations sexuelles par peur du SIDA, comprennent alors qu'ils peuvent avoir des relations sexuelles autant qu'ils veulent, en toute sécurité, pourvu qu'ils se servent du préservatif ».

Ces jeunes « commencent alors à avoir une vie sexuelle active et souvent dispersée en se protégeant avec un préservatif » et après un temps, poursuit le communiqué, soit eux, soit leurs partenaires commencent à en avoir assez du préservatif « gêneur », ou bien ils négligent d'en avoir toujours sous la main, et de plus en plus prennent des risques en ayant des relations sexuelles non protégées ».

« Et c'est souvent ainsi qu'ils attrapent le virus et deviennent des agents propagateurs de la maladie », expliquait alors Mgr Piat.

Ce qui est grave, estime-t-il, « ce n'est pas de se servir d'un préservatif si on ne peut s'empêcher d'avoir des relations sexuelles à risque et qu'on veut se protéger ou protéger sa partenaire, mais c'est de laisser entendre aux jeunes qu'ils peuvent avoir la vie sexuelle la plus désordonnée qui soit avant le mariage et qu'ils seront toujours en sécurité pourvu seulement qu'ils se servent d'un préservatif ».

Pour l'évêque de Port-Louis, le pape, dans sa réponse au journaliste, a fait appel « à un certain sens de la dignité humaine dans la manière de vivre la sexualité ».

De fait, explique-t-il, « dans un pays comme l'Ouganda, c'est grâce à une campagne d'éducation en vue d'une abstinence avant le mariage et la fidélité dans le mariage que le taux de propagation de l'épidémie a sensiblement baissé ces dernières années ».

L'évêque de Port-Louis assure que pour prévenir l'expansion du SIDA d'une manière durable, « il faut croire en la capacité des jeunes de vivre une sexualité épanouie et responsable dans les paramètres de la fidélité et de l'abstinence ».

« Le changement de comportement auquel sont conviés les jeunes est un processus à promouvoir aussi bien par les adultes que par les jeunes eux-mêmes », souligne-t-il dans le communiqué de l'évêché.

Enfin, Mgr Piat  déplore «les campagnes de distribution tous azimuts de préservatifs », car selon lui « elles laissent entendre que l'épidémie peut être jugulée par des moyens purement mécaniques ».

Pour être durable, estime-t-il « ce combat doit aussi faire appel à des ressources humaines plus profondes et plus solides à long terme ». 

Isabelle Cousturié

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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 03:58
Sylvie a assisté à la première réunion Billings dans la paroisse de Burlington. En effet, l'une des paroissiennes vient de se former à la méthode qui est pour eux une grande nouveauté. Ils étaient tout surpris que Sylvie connaisse cette méthode révolutionnaire ! Cette femme est l'unique animatrice Billings pour un diocèse qui compte plus de 1 million de personnes. Comme quoi , en Amérique du Nord il y a un certain nombre de choses qui sont en retard par rapport à la vieille Europe ! Quand on sait que cela fait plus de 20 ans qu'en France on parle de cette méhode lors des préparations au mariage.
Nous vous rassurons il y a des animateurs dans toutes les grosses villes du Canada.

Comble de l'ironie, Sylvie a mentionné au groupe paroissial l'existence de la méthode "Teen Star" pour l'éducation affective et sexuelle des jeunes, ils n'en avaient jamais entendu parlé et pourtant la frontière avec les US n'est qu'à 1 heure de voiture.




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1 juin 2008 7 01 /06 /juin /2008 19:24

Nous avons 2 paroisses : une paroisse de langue française St Philippe a 6 km de la maison et une paroisse de langue anglaise St Raphaël  a 500m de la maison.


St Philippe est notre paroisse dominicale

Une fois par mois la famille Dollié anime la messe avec Anne-Laure a la flûte et au chant, Hugues au chant, Hélène a la Cithare, Clémence au tambourin et Sylvie a la lecture.

Notre prêtre est originaire du Congo et il est plein de dynamisme et de foi.


St Raphaël est plutôt fréquentée pendant la semaine par Sylvie qui peut participer à l’eucharistie quotidienne. Cette paroisse a également le gros avantage de proposer l’adoration permanente ce qui permet à Hugues d’y faire un tour certains matins avant d’aller travailler, c’est bien pratique. C’est une paroisse tenue par une communauté de 3 franciscains plutôt jeunes ce qui attire du monde au delà des frontières naturelles de la paroisse.

Anne-Laure fait partie de l’orchestre des jeunes de la paroisse et anime la messe du dimanche à 12h00 sauf lorsqu’elle est de service à St Philippe.

Nous avons eu la chance d’avoir le passage du reliquaire de St Antoine de Padoue dans la paroisse.


L’EGLISE AU CANADA

De la petite expérience que nous avons, nous pouvons dire que les problématiques sont assez semblables à ce qui se vit en France. Diminution des pratiquants, difficulté à susciter de nouvelles vocations , et comment faire pour attirer les jeunes dans nos célébrations ? Les mouvements protestants sont très nombreux  et très actifs et il convient de s’en réjouir, néanmoins c’est toujours décevant de voir les jeunes partir vers  le clocher voisin.

D’un point de vue financier , les choses sont assez simples : tout est pris en charge par les paroissiens à commencer par le salaire du prêtre, son presbytère et tous les travaux liés à l’église. Nous avons changé les portes principales de notre petite église : 15 000 $.

Les canadiens sont donc par la force des choses généreux et soutiennent financièrement leur communauté.
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